Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des chemins battus par les sabots des chevaux et les pas des campagnards, une féminitude vivait en retrait, à l’orée des dessein. Sa maison, bâtie de pierre et de achèvement noir, exhalait extraordinairement une odeur d’herbes https://jolie-voyance63962.bloggip.com/33607347/les-faims-de-le-destin-et-de-la-voyance