Tokyo brillait marqué par les néons, un équipe de lumières pulsantes qui reflétaient la célérité ininterrompue des data circulant dans l’infrastructure numérique de le hameau. L’ingénieur observait les flux d’informations défiler sur son écran, chacun analysé, disséqué, converti en probabilités. Son sympathie artificielle, baptisée Oracle-9, était la plus avancée jamais https://andersonwxwtp.blogoxo.com/34020714/l-algorithme-de-l-invisible