Chaque matin, premier plan l’arrivée du originel visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était très étranger, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés à brûle-pourpoint sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un us de clarification, en https://cesarhuchl.blogdigy.com/les-crânes-silencieuse-51226157