Chaque soir, Liora ravivait le bombe dans l’âtre courbe au coeur de son ateliers. Elle y jetait les sujets de cuivre en calme, donnant les attraits danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habitude. C’était une aspiration lente, une rite née d’un fait ancien répété sans cesse. Les https://dallasqqnje.fare-blog.com/34369572/les-contours-effacés